La Banque de Norvège a porté plainte le 17 septembre devant un tribunal fédéral civil de New York pour obtenir des dommages et intérêts du groupe et 20 de ses dirigeants. Elle affirme avoir « perdu plus de 735 millions de dollars sur ses investissements dans les actions ordinaires de Citigroup et plus de 100 millions de dollars sur ses investissements dans les obligations et actions préférentielles », entre janvier 2007 et janvier 2009.
La banque centrale accuse Citigroup d’escroquerie, à travers « la répétition de déclarations fausses et la non-divulgation de renseignements matériels aux investisseurs ». Pour elle, Citi a tardé à révéler l’ampleur de son portefeuille de crédits immobiliers à risque et de produits dérivés de ces crédits, alors que ces marchés étaient en train de s’effondrer. « Citi est tombé près de l’insolvabilité », a rappelé la Banque de Norvège, qui précise gérer les investissements du gouvernement et du fonds de réserve pétrolier pour les retraites. Si on y ajoute les réserves de changes de la banque centrale, le pays contrôle près de 500 milliards de dollars d’actifs.
Une porte-parole de Citigroup a indiqué à l’AFP que la banque comptait se défendre « vigoureusement » contre des accusations « sans fondement ».
Rappelons que dernièrement, accusé de fraude aux subprimes, Citigroup a préféré payer 75 millions de dollars à la SEC, l'organisme de régulation et de contrôle du marché financier américain, pour éviter un procès.
La banque centrale accuse Citigroup d’escroquerie, à travers « la répétition de déclarations fausses et la non-divulgation de renseignements matériels aux investisseurs ». Pour elle, Citi a tardé à révéler l’ampleur de son portefeuille de crédits immobiliers à risque et de produits dérivés de ces crédits, alors que ces marchés étaient en train de s’effondrer. « Citi est tombé près de l’insolvabilité », a rappelé la Banque de Norvège, qui précise gérer les investissements du gouvernement et du fonds de réserve pétrolier pour les retraites. Si on y ajoute les réserves de changes de la banque centrale, le pays contrôle près de 500 milliards de dollars d’actifs.
Une porte-parole de Citigroup a indiqué à l’AFP que la banque comptait se défendre « vigoureusement » contre des accusations « sans fondement ».
Rappelons que dernièrement, accusé de fraude aux subprimes, Citigroup a préféré payer 75 millions de dollars à la SEC, l'organisme de régulation et de contrôle du marché financier américain, pour éviter un procès.
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