La Russie a donné le coup d'envoi de son vaste programme de privatisation annoncé l'année dernière, en vendant le 14 février 10% de la banque VTB pour plus de 2,4 milliards d'euros (95 milliards de roubles), une offre qui a rencontré un large succès auprès des investisseurs étrangers.
Selon Herbert Moos, directeur financier de l'assureur italien Generali, ce dernier est le plus gros acquéreur d'actions de la banque VTB. Selon lui, le volume total des investissements du groupe italien s'est élevé à 300 millions de dollars.
D'après Ria Novista, pour le ministre russe des Finances, Alexeï Koudrine, "cela veut dire qu'en dépit des difficultés de la période après-crise, les actions des entreprises russes présentent toujours un intérêt [...] Nous considérons la vente comme un succès, et continuerons de travailler dans ce domaine".
Rappelons que le gouvernement russe a annoncé en juillet 2010 vouloir privatiser plusieurs entreprises publiques ou semi-publiques. En octobre, il a approuvé un colossal programme de privatisations de 42 milliards d’euros sur cinq ans, au sein duquel figurent notamment VTB, la banque semi-publique Sberbank, le pétrolier Rosneft et nombre d’autres entreprises clés. Cette nouvelle vague de privatisations, la plus grande depuis les années 1990, a pour objectif de lever des fonds pour contribuer à moderniser le pays et lui permettre de maîtriser son déficit budgétaire.
Selon Herbert Moos, directeur financier de l'assureur italien Generali, ce dernier est le plus gros acquéreur d'actions de la banque VTB. Selon lui, le volume total des investissements du groupe italien s'est élevé à 300 millions de dollars.
D'après Ria Novista, pour le ministre russe des Finances, Alexeï Koudrine, "cela veut dire qu'en dépit des difficultés de la période après-crise, les actions des entreprises russes présentent toujours un intérêt [...] Nous considérons la vente comme un succès, et continuerons de travailler dans ce domaine".
Rappelons que le gouvernement russe a annoncé en juillet 2010 vouloir privatiser plusieurs entreprises publiques ou semi-publiques. En octobre, il a approuvé un colossal programme de privatisations de 42 milliards d’euros sur cinq ans, au sein duquel figurent notamment VTB, la banque semi-publique Sberbank, le pétrolier Rosneft et nombre d’autres entreprises clés. Cette nouvelle vague de privatisations, la plus grande depuis les années 1990, a pour objectif de lever des fonds pour contribuer à moderniser le pays et lui permettre de maîtriser son déficit budgétaire.
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