Pendant près d'une heure et demie, avec Maurice Lévy, le PDG de Publicis, dans le rôle de modérateur, Nicolas Sarkozy s’est livré à une défense sans ambiguïté de l’euro. « Je peux vous assurer que, aussi bien Madame Merkel que moi-même, jamais, vous m’entendez jamais, nous ne laisserons tomber l’euro, jamais », a-t-il lâché, évoquant les « conséquences cataclysmiques » d’une disparition de l’euro. Comme en écho, le président de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet a, lui, assuré qu’il n’y avait actuellement « pas de crise de l’euro », même s’il a reconnu qu’il fallait en améliorer la surveillance.
Discours intégral (cliquez sur "Original" puis "Apply" pour avoir le discours en français):
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